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Lettre de la société civile sur la conférence ministérielle de Nairobi de l’Organisation mondiale du commerce (OMC)

9 December, 2015
En tant que membres de 457 organisations de la société civile - dont des syndicats, des défenseurs de l’environnement, des paysans, des organisations de développement et des groupes d’intérêt public de plus de 150 pays - nous vous écrivons aujourd’hui pour vous exprimer notre vive inquiétude quant à la situation actuelle des négociations à l’OMC. Nous vous invitons à veiller à ce que la conférence ministérielle de Nairobi serve à changer les règles de l’OMC pour rendre le système commercial international plus compatible avec le développement centré sur les êtres humains et à s’opposer aux efforts de certains pays développés d’abandonner l’agenda de développement pour le remplacer par une série de soi-disant « nouveaux sujets ». Ceux-ci sont en réalité des sujets non commerciaux qui empièteraient largement sur les économies nationales et réduiraient l’espace politique national nécessaire pour le développement et l’intérêt public.

La société civile internationale envoie une lettre aux gouvernements pour s’opposer à « l’accord sur le commerce des services » proposé, alors que les négociateurs arrivent à Genève

16 September, 2013
Aujourd’hui, alors que les gouvernements se réunissent à Genève pour négocier une proposition d’Accord sur le commerce des services (ACS), 341 organisations représentant des centaines de millions de personnes dans presque tous les pays en développement et développés, ont appelé les gouvernements à abandonner les discussions. Parmi les signataires figurent 42 grands réseaux internationaux et régionaux, comme l’Internationale des services publics (PSI), UNI Global Union, la Fédération Syndicale européenne des Services Publics (FSESP), l’IndustriALL Global Union, l’Union interntionale des travailleurs de l’agriculture (UITA), et le réseau ATTAC européen. La lettre a été organisée par le réseau OWINFS.

Lettre de la société civile concernant les questions d'investissement et la CNUCED

Nous, organisations de la société civile soussignées, représentant des groupes de différentes régions du monde, sommes préoccupés par les conséquences des traités de protection des investissements sur les perspectives de développement durable dans nos pays et régions.

STOP A LA DEREGULATION ET AU BRADAGE DES SERVICES AU PROFIT D’INTERETS CORPORATISTES!

Aujourd’hui, alors que les gouvernements se réunissent à Genève pour négocier une proposition d’Accord sur le commerce des services (ACS), 345 organisations représentant des centaines de millions de personnes dans presque tous les pays en développement et développés, ont appelé les gouvernements à abandonner les discussions. Parmi les signataires figurent 42 grands réseaux internationaux et régionaux, comme l’Internationale des services publics (PSI), UNI Global Union, la Fédération Syndicale européenne des Services Publics (FSESP), l’IndustriALL Global Union, l’Union interntionale des travailleurs de l’agriculture (UITA), et le réseau ATTAC européen. La lettre a été organisée par le réseau OWINFS.

Revirement de l’OMC 2013: priorité à la nourriture, auxemplois et au développement durable – déclaration

Après de nombreuses conférences ministérielles ratées et presque douze ans de négociations, le cycle de Doha d’expansion de l’OMC est au point mort. Les pays développés ont poussé des accords parallèles pour négocier des questions cruciales pour les pays en développement,censées corriger les déséquilibres actuels de l’OMC et qui constituaient la base du mandat de développement de Doha. Pire : les pays développés semblent réemballer les mêmes demandes de libéralisation et d’accès au marché de leurs intérêts des entreprises transnationalesafin de tisser un nouveau « fil conducteur commercial » pour conclure des accords lors de la 9ème ministérielle à Bali. Dans cette déclaration, avec des demandes spécifiques le réseau Notre monde n’est pas à vendre (OWINFS) affirme qu’en plus d’une transformation à long terme de l’architecture globale commerciale et économique, des changements immédiats doivent être apportés à l’OMC afin de donner aux pays plus de marge de manœuvre pour poursuivre un agenda positif pour le développement et la création d’emplois, la sécurité alimentaire, le développement durable, l’accès à des soins de santé et des médicaments abordables et la stabilité financière globale.